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mercredi 25 juillet 2012

Le conflit : Générateur de coûts … ou Source de profits ?


Contexte : L'atteinte de résultats attendus dans les réorganisations demande des adaptations de la part de chacun. Ces adaptations aux changements demeurent une zone de fragilité pour les individus, dans lesquelles les tensions et les conflits émergent.

Les conflits sont inévitables, ils sont inhérents à la nature humaine, et c'est toujours dans nos relations qu'ils apparaissent.

Mais les conflits coûtent cher pour toute organisation, toute entreprise.
Ils génèrent démotivation, baisse de productivité, absentéisme, ils sont contaminants et contribuent à entamer le dynamisme des collaborateurs, à dégrader l'ambiance de tout un service, jusqu'aux résultats de l'entreprise.

Proposition : La mise en place d’un service de médiation, pour résoudre les problèmes et pacifier les relations. La médiation permet de passer par une conciliation à l'amiable dans le respect des individus et des structures.
En préventif ou en curatif, la médiation est au service de la résolution pacifique des conflits.

C’est la recherche de solutions en pleine responsabilité et coopération.


Gains : Avec un taux de réussite de 3 sur 4, la résolution du conflit par l’appel à une médiation, présente de nombreux avantages.
  • La tentative de recréer le dialogue véritable sans imposer une pseudo consultation des belligérants. Ce maintien du lien est primordial pour l’entreprise.
  • La recherche d’une solution la plus intéressante et la plus efficace possible pour toutes les parties.
  • L’absence de recherche d’arbitrage ou de décision hiérarchique évite de polluer la hiérarchie qui peut ainsi se dégager de ces conflits.
  • La rapidité de mise en œuvre de la médiation autorise un usage fréquent. Seule compte la disponibilité du médiateur.

mercredi 18 juillet 2012

Les rescapés du potager

En ces périodes de pluies, où l'été oublie sa principale caractéristique, bloquée au milieu de l'Atlantique au lieu de venir réchauffer nos coeurs et mettre le feu à nos corps, le jardin bénéficie de conditions exceptionnelles pour faire pousser toutes sortes d'herbes. Les bonnes comme les mauvaises. Parmi les bonnes seules trois ont surnagé aux pluies. Je me suis retrouvé à la tête d'estragon, de cèleri perpétuel et de menthe verte. Comme il y a presque un an que je ne vous ai pas proposé de cake à l'étorki je me sens dans l'obligation de vous faire profiter du

cake à l'étorki et aux cachuètes


Pour réussir ce délicieux cake salé, il vous faudra :

2 tasses à thé de farine de maïs
30 g de cacahuètes salées
3 œufs
Une cuillère à café pas trop bombée (5 à7 gr) de poudre levante (équivalente de la levure chimique l’Alsacienne mais avec de la farine de quinoa)
une pincée de sel
une pincée de cumin
100 gr d’étorki
125 g de mascarpone
3/4 pousses d'estragon,
3/4 pousses de menthe
10 feuilles de céleri perpetuel

Préchauffer le four à 180°C. Bien laver les herbes, couper les feuilles en petits morceaux et les mélanger à la farine, aux œufs et au mascarpone.Rajouter la poudre à lever, l’étorki coupé en petit morceau et les cacahuètes concassées, Bien répartir.
Verser dans un moule à cake et faire cuire dans un four à 180° pendant 35 mn. Vérifier la cuisson en plantant un couteau qui doit ressortir propre.

Régalez vous

Le truc de Pago : Délicieux à l'apéritif avec un petit vin blanc doux ou un rosé de Provence bien frais.

mercredi 11 juillet 2012

Ah ces anglais...

Je me souviens, c'était il y a bien longtemps, c'était un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, avec ma maman, nous avions prévu, planifié un "english breakfast"  avec les bonnes choses que les anglais savent y mettre. Il y avait la recette d'un "lemon curd" extraordinaire.
C'est pourquoi quelques années après je vous propose :

Le cake lemon curd



Pour réussir cette petite merveille, très simple à faire, il vous faudra, en plus d'un four, d'un blender et d'un moule à cake :

1 citron BIO
1 tasse à thé de farine de maïs
1 tasse à thé de poudre d'amande
1 tasse à thé de sucre
1 cuillère à café de poudre à lever
2 cuillères à soupe de jus de citron BIO (j'ai pris du jus de citron sicilien)
3 oeufs
125 g de mascarpone

Préchauffer le four à 180 °C. Laver le citron. Dans la cuve du blender, mettre les zestes que vous avez retirés du citron. Éplucher le citron pour qu'il ne reste plus de blanc sur les quartiers du citron. Mettre les quartiers,  la farine, le sucre, le mascarpone, les 2 cuillères à soupe de jus de citron et les 3 jaunes dans le blender. Lancer le blender jusqu'à obtenir un appareil crèmeux. Pendant que le blender fait son office, battre les blancs en neige très ferme.
Incorporer les blancs dans l'appareil sans les casser. Verser dans le moule à cake (que vous avez préparé suivant votre habitude pour le démoulage, moi je mets un peu d'huile d'olive). Enfourner pour 35 min.
Démouler. 


Régalez-vous


Le truc de Pago :  Délicieux avec un café ou à "tea time"

jeudi 5 juillet 2012

C'est les vacances, on a du temps

C'est les vacances on a du temps et même du beau pour les chanceux, pour les autres, la cuisine permet d'oublier un peu ce temps bizarre que nous avons depuis la saint Médard.
Comme j'ai le temps, je vais vous proposer un spécial vacances qui prend un peu plus de temps et de ressources. J'ai longtemps hésité à vous le proposer car il est pour plus de 10 personnes mais la dernière fois que je l'ai fait pour les amis, ce gâteau a reçu untel accueil et un tel enthousiasme que je vous le propose pour les grandes occasions. Il faut savoir qu'il  nécessite l'utilisation de deux fois le même moule. Si vous avez deux moules à manquer de même diamètre, pas de problème, sinon il faut faire deux cuissons de suite de 45 min. Je vous propose donc :

La tuerie chocolat fraise


Pour réussir ce chef d'oeuvre, cette "tuerie" (un des convives dixit), il vous faudra, en plus du courage et de la patience et du ou des moules à manquer (suivant l'état de votre batterie de cuisine) :

  • 4 cuillères à soupe de maïzena
  • 3 cuillères à soupe de miel crémeux
  • 4 cuillères à café de cacao sans sucre
  • 6 cuillères à soupe de Bénédictine
  • 8 oeufs
  • 120 g de coulis de fraise
  • 500 g de mascarpone
Préchauffer le four à 160°C. Mélanger une cuillère de miel crémeux, deux cuillères de maïzena, deux jaune d'oeuf et deux cuillères à soupe de Bénédictine à 125 g de mascarpone. Battre en neige ferme 4 blancs d'oeuf  (réserver les deux jaunes). Incorporer les blancs en neige à l'appareil sans les casser. Verser dans le moule à manquer et enfourner pour 45 min. Si vous avez un deuxième moule à manquer de même diamètre vous n'enfourner pas sans avoir recommencer la partie avec fraise, c'est à dire :  Mélanger une cuillère de miel crémeux, deux cuillères de maïzena, deux jaune d'oeuf et  120 g de coulis de fraise  à 125 g de mascarpone. Battre en neige ferme 4 blancs d'oeuf.(réserver les deux jaunes). Incorporer les blancs à l'appareil sans les casser. Verser dans le moule à manquer et enfourner pour 45 min aussi.
Mélanger les 4 jaunes d'oeuf réservés, les 4 cuillères à café de cacao et les 4 cuillères à soupe de Bénédictine et la cuillère de miel crémeux et les 250 g restant de mascarpone jusqu'à l'obtention d'une crème chocolatée. Couper la partie "Bénédictine" en deux dans l'épaisseur. Mettre une couche de crème au chocolat sur la partie coupée. Poser la partie à la fraise dessus. Remettre  une couche de crème au chocolat et poser la deuxième partie "Bénédictine" dessus. Mapper le gâteau avec le reste de la crème.
Régalez vous.


Le truc du chef : Reserver le gâteau quelques heures au frigo à l'avance, il est encore meilleur.